9 – La Forêt en Nivernais – La bonne source
La neuvième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un jeune garçon se désaltérant à une source.
La neuvième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un jeune garçon se désaltérant à une source.
Étymologiquement, le mot loge vient du vieux-francique laubja qui signifie « hutte de feuillage ». La loge, forme d’habitat précaire typique du prolétariat forestier, était généralement construite par les bûcherons ou les charbonniers à proximité immédiate des coupes.
La septième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un artisan occupé à façonner un sabot sur un billot.
LA CHARITÉ-SUR-LOIRE – BERTRANGES. lci la ville et là, à quelques kilomètres, la prestigieuse chênaie séculaire. Quelle longue et belle histoire n’évoque-t-on pas en écrivant ces mots !
La maison forestière de la Petite Bertrange est située au nord-est du massif domanial, le long de l’actuelle route départementale D38 et à proximité immédiate d’un ruisseau, le Mazou, et du hameau des Limousins.
La cinquième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais », imprimée à partir d’une photographie de Raoul Saulnier d’Anchald, met en scène un bûcheron occupé à écorcer un chêne.
La quatrième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un groupe de fendeurs travaillant en forêt comme il était d’usage autrefois.
La troisième carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un groupe de trois femmes chargées de bois mort. La photographie a été prise à Beaumont-la-Ferrière, commune bordant la forêt des Bertranges.
Spécialisée dans la fente de merrains depuis deux siècles, la famille Charlois n’a depuis eu de cesse de valoriser et de promouvoir les chênaies françaises, notamment celle des Bertranges, et leur inestimable patrimoine forestier.
La seconde carte postale de la série « La Forêt en Nivernais » met en scène un bûcheron pratiquant une entaille d’abattage sur un arbre de la forêt des Bertranges. Cette action, consistant à réaliser une sorte de charnière de pivotement, permet au bûcheron de guider l’arbre dans sa chute.